Je ne suis pas un roman

Editeur : Tropismes éditions
Auteur : Nasim Vahabi
Traducteur : Nasim Vahabi - persan

EAN : 9782493823021
Prix : 16 €
Collation : 121p. ; 14cm x 21cm ; épaisseur 1.1cm
Date de parution : 09/09/2022

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En ce qui concerne la vie des livres à publier, il est bon de savoir que dans certains pays, ce n'est pas l'éditeur qui a le dernier mot, mais plutôt un bureau rattaché à un ministère qui décide du destin d'une œuvre. Quel que soit l'intitulé du ministère (l'Intérieur, la Culture ou la Sécurité), il paie des salariés qui travaillent à temps plein pour lire les romans, la poésie, les recueils de nouvelles en attente de publication ; et ils sont censés décider du sort d'un ouvrage, à savoir s'il est publiable ou pas. »

Une autrice et son éditeur se rendent au bureau de la censure pour tenter de comprendre l'interdit de publication dont ils sont victimes. Alors que l'éditeur repart bredouille, l'autrice se retrouve oubliée par l'agent lecteur dans la salle des manuscrits interdits. Elle commence à tourner les pages mises en quarantaine...


Tropismes publie la traduction de l'autrice par elle-même, illustrée par Sepideh Salehi.


Aujourd'hui basée en France, Nasim Vahabi est née à Téhéran. Autrice bilingue, elle a à son actif plusieurs ouvrages publiés en Iran, qui ont reçu de prestigieux prix nationaux. Deux de ses textes sont pourtant interdits de publication dans son pays. 
Elle est la coordinatrice de l'anthologie de nouvelles iraniennes contemporaines Amours persanes aux éditions Gallimard et travaille depuis plus de vingt ans dans le milieu du livre. Avec ce court roman percutant, elle nous transpoirte, avec humour et émotion, dans un monde où la liberté d'expression est brimée par une bureaucratie aux allures dystopiques.

4eme de couverture :

En ce qui concerne la vie des livres à publier, il est bon de savoir que dans certains pays, ce n'est pas l'éditeur qui a le dernier mot, mais plutôt un bureau rattaché à un ministère qui décide du destin d'une œuvre. Quel que soit l'intitulé du ministère (l'Intérieur, la Culture ou la Sécurité), il paie des salariés qui travaillent à temps plein pour lire les romans, la poésie, les recueils de nouvelles en attente de publication ; et ils sont censés décider du sort d'un ouvrage, à savoir s'il est publiable ou pas. »

Une autrice et son éditeur se rendent au bureau de la censure pour tenter de comprendre l'interdit de publication dont ils sont victimes. Alors que l'éditeur repart bredouille, l'autrice se retrouve oubliée par l'agent lecteur dans la salle des manuscrits interdits. Elle commence à tourner les pages mises en quarantaine...

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