Mais t'étais où ? : histoire d'une auto-analyse gestationnelle

Editeur : Medicilline
Auteur : Cyrielle Sarah Cohen

EAN : 9782492552045
Prix : 12.9 €
Collation : 103p. ; 15cm x 22cm ; épaisseur 0.7cm
Date de parution : 16/05/2021

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Histoire d'une auto-analyse gestationnelle

« Qu’allait être encore ma vie ? Qu’adviendrait-il de demain ? Que voudrais-je ? Qui voudrais-je ? Je n’en savais rien mais je savais que je voulais aimer et être aimée véritablement. Vivre pour mourir vraiment. La vie t’arrache tout quand tu ne l’aimes pas pour que tu comprennes qu’elle est là. On m’avait tout pris. Comme Mandela, j’étais en cellule et je devais me sentir libre. Et c’est lorsque je n’avais plus rien que j’ai commencé à aimer la vie. Pour être heureuse sans argent, sans amour, sans enfant, sans maison, sans raison. Vraiment heureuse. Avec mes petits jouets. J’avais cherché l’amour de ma vie, je trouvais le Bonheur de la vie. Et il était à l’intérieur de moi. »


Cyrielle Sarah Cohen est une enfant d'artistes. Ses aspirations démarrent par son amour de la musique qui lui vient de son père, guitariste amateur, et de sa mère, ancienne danseuse, agent artistique et producteur de disques.

C'est grâce aux rythmes jazzys et à l'influence de ses parents qu'elle commence à se situer dans le langage corporel, mais n'arrivant pas à s'exprimer de cette manière, elle préfère se tourner vers l'écriture. Elle se rend compte du pouvoir que comportent les mots et de l'émotion qu'elle libère auprès des autres.

Ses poèmes écrits dès l'âge de 7 ans, seront alors succédés par des chansons, des mémoires, puis par des reportages quelques années plus tard. Journaliste et productrice, elle fait carrière dans de nombreux médias.


4eme de couverture :

« Qu'allait être encore ma vie ? Qu'adviendrait-il de demain ? Que voudrais-je ? Qui voudrais-je ? Je n'en savais rien mais je savais que je voulais aimer et être aimée véritablement. Vivre pour mourir vraiment. La vie t'arrache tout quand tu ne l'aimes pas pour que tu comprennes qu'elle est là. On m'avait tout pris. Comme Mandela, j'étais en cellule et je devais me sentir libre. Et c'est lorsque je n'avais plus rien que j'ai commencé à aimer la vie. Pour être heureuse sans argent, sans amour, sans enfant, sans maison, sans raison. Vraiment heureuse. Avec mes petits jouets. J'avais cherché l'amour de ma vie, je trouvais le Bonheur de la vie. Et il était à l'intérieur de moi. »