L'autre père François : conte drolatique

Editeur : Guêpine éditions
Auteur : Ramon Pérez de Ayala
Traducteur : Michel (1941-.... ; médiéviste) Garcia - espagnol
Autre auteur : Michel (1941-.... ; médiéviste) Garcia - Editeur scientifique (ou intellectuel)

EAN : 9782491485221
Prix : 16 €
Collation : 53p. ; 13cm x 16cm ; épaisseur 0.6cm
Date de parution : 22/06/2023

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Les lecteurs assidus de Rabelais seront sans doute surpris de découvrir qu'au tout début du XXe siècle, alors que l'oeuvre de notre grand humaniste n'avait pas encore été traduite en langue espagnole, un jeune et prometteur écrivain asturien lui avait consacré un de ses tout premiers textes, publié dans une revue littéraire de Madrid. Ramón Pérez de Ayala, dont la production ultérieure est considérable et unanimement appréciée, y manifeste une bonne connaissance de la vie du grand Chinonais mais aussi de ses lectures pendant son étape franciscaine au couvent de Fontenay-le-Comte. D'un style enjoué et volontairement provocateur, ce texte est aussi un manifeste culturel et un hommage à l'école symboliste française.


Ramon Pérez de Ayala
Il naît à Oviedo en 1880. Il étudie le droit à Oviedo sous la protection de Leopoldo Alas, « Clarín ». Il s’installe ensuite à Madrid où il se rattache à l’Institution libre d’enseignement. Avec Ortega y Gasset et Marañón, il crée le Groupement au service de la République. Ambassadeur à Londres entre 1931 et 1936, il s’exile en France et ensuite en Argentine dès le début de la guerre civile espagnole. Il rentre en Espagne en 1954. Il cultive tous les genres, et fait preuve d’un grand talent dans tous, sauf le théâtre. Il est, avec Miguel de Unamuno, l’un des plus fervents créateurs de la poésie philosophique de l’époque. Son œuvre narrative compte trois étapes : une première étape autobiographique, peut-être celle où il excelle le plus ; une autre, de caractère intellectuel et symbolisant ; et une troisième étape aux sujets plus universels. Il meurt à Madrid en 1962.

4eme de couverture :

Les lecteurs assidus de Rabelais seront sans doute surpris de découvrir qu'au tout début du XXe siècle, alors que l'oeuvre de notre grand humaniste n'avait pas encore été traduite en langue espagnole, un jeune et prometteur écrivain asturien lui avait consacré un de ses tout premiers textes, publié dans une revue littéraire de Madrid. Ramón Pérez de Ayala, dont la production ultérieure est considérable et unanimement appréciée, y manifeste une bonne connaissance de la vie du grand Chinonais mais aussi de ses lectures pendant son étape franciscaine au couvent de Fontenay-le-Comte. D'un style enjoué et volontairement provocateur, ce texte est aussi un manifeste culturel et un hommage à l'école symboliste française.

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