La bague sans doigt

Editeur : Le Mail
Auteur : Jean Zay
Autre auteur : Pierre Allorant - Préfacier

EAN : 9782958235208
Prix : 15 €
Collation : 213p. ; 12cm x 18cm ; épaisseur 1.7cm ; illustrations en noir et blanc
Date de parution : 30/06/2022

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1942. Jean Zay, jeune ministre de l’Éducation nationale et des Beaux-Arts du Front populaire de 1936 à la mobilisation de la « drôle de guerre », est incarcéré depuis deux ans dans les geôles de Vichy, à la suite du procès politique inique d’octobre 1940. L’État français de Pétain fait payer à ce grand républicain le prix de son engagement politique par une « mort civile », la même peine que le capitaine Dreyfus.

Face à l’injustice, Jean Zay lutte avec ses armes : son intelligence et sa plume ; sa production est intense. Outre Souvenirs et solitude, ses notes, études pour la résistance qui quittent la prison dans le landau de sa deuxième fille Hélène, sa riche correspondance, il écrit ce roman policier qu’il place sur les bords de Loire, à Blois, puis magie du récit, en Égypte.

Un crime, un doigt sectionné, une bague mystérieuse, des personnages formidablement bien campés. Jean Zay s’évade dans l’écriture de ce texte qui profite de son expérience d’avocat pour nous offrir un récit captivant, pour la première fois réédité.


Préface de Pierre Allorant, Doyen de la Faculté de Droit, d’Économie et de Gestion de l’Université d’Orléans et président du Cercle Jean Zay.


Résumé :
Roman publié pour la première fois en 1942 alors que l'auteur est en prison, condamné pour désertion par le régime de Vichy.
4eme de couverture :

La bague sans doigt

1942. Jean Zay, jeune ministre de l'Éducation nationale et des Beaux-Arts du Front populaire de 1936 à la mobilisation de la « drôle de guerre », est incarcéré depuis deux ans dans les geôles de Vichy, à la suite du procès politique inique d'octobre 1940. L'État français de Pétain fait payer à ce grand républicain le prix de son engagement politique par une « mort civile », la même peine que le capitaine Dreyfus.

Face à l'injustice, Jean Zay lutte avec ses armes : son intelligence et sa plume ; sa production est intense. Outre Souvenirs et solitude, ses notes, études pour la résistance qui quittent la prison dans le landau de sa deuxième fille Hélène, sa riche correspondance, il écrit ce roman policier qu'il place sur les bords de Loire, à Blois, puis magie du récit, en Égypte.

Un crime, un doigt sectionné, une bague mystérieuse, des personnages formidablement bien campés. Jean Zay s'évade dans l'écriture de ce texte qui profite de son expérience d'avocat pour nous offrir un récit captivant, pour la première fois réédité.

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