La dépendance

Editeur : Gallimard
Auteur : Rachel Cusk
Traducteur : Blandine Longre - anglais

EAN : 9782072985614
Prix : 20 €
Collation : 208p. ; 14cm x 21cm ; épaisseur 1.7cm
Date de parution : 25/08/2022

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M, romancière entre deux âges, s’est isolée du monde en s’installant avec son second mari au bord d’une côte océanique spectaculaire. Sur sa propriété baignée d’une lumière splendide et entourée de marais, le couple possède une dépendance soigneusement reconvertie en résidence d’artistes. M n’a qu’un rêve : y accueillir un jour L, un peintre à la renommée mondiale, qu’elle admire.
Quand il finit par accepter son invitation, M jubile. Cependant, elle déchante vite car L n’arrive pas seul — une ravissante jeune femme est à son bras. Entre-temps, la fille de M et son compagnon ont également débarqué. Les trois couples doivent alors cohabiter dans ce cadre certes enchanteur, mais qui va devenir le théâtre de multiples tensions.
D’une plume ciselée, Rachel Cusk crée un huis clos piquant et fascinant que l’on découvre en se plongeant dans le flot de pensées de M, une Mrs Dalloway des temps modernes. Entre désirs étouffés, orgueil artistique et illusions déçues, La dépendance décortique avec beaucoup de malice le large éventail des rapports humains et la légitimité de la vocation artistique.


Blandine Longre, traductrice Après une carrière dans l’enseignement (professeure agrégée d’anglais et formatrice IUFM), je me consacre depuis 2006 à la traduction littéraire de l’anglais au français (fiction, poésie, littérature jeunesse, essais, arts, musique, etc.) et vice-versa, à l’écriture et à l’édition. Parmi les auteurs anglophones que j’ai traduits, Téa Obreht, Sophy Roberts, Stephen Chbosky, Tabish Khair, Michelle Paver, Rhys Bowen, Dexter Palmer, Anne Roiphe, D. H. Lawrence, Gregory Corso, David Gascoyne, L. Frank Baum, Arthur Conan Doyle, etc.
En parallèle, j’ai géré la revue littéraire numérique Sitartmag (1999-2009), collaboré à plusieurs revues en tant que critique (dont la Revue des Livres pour enfants de la BNF), travaillé comme lectrice de manuscrits anglophones pour divers éditeurs français. J’ai également fondé, en 2010, la maison d’édition bilingue Black Herald Press avec le poète britannique Paul Stubbs, publié quelques nouvelles en revues, ainsi que deux recueils de poésie (langue anglaise).

Rachel Cusk est un écrivain britannique, née en 1967, auteur de dix romans (le premier paraît en 1993, Saving Angels), dont quatre ont été traduits en France.
Elle a étudié la langue anglaise au New College de l'Université d'Oxford. Après l'obtention de son diplôme, elle travaille chez un agent littéraire londonien.
En 1993, elle publie son premier roman, Saving Agnes pour lequel elle reçoit le Whitbread First Novel Award.
Élue parmi les vingt meilleurs jeunes romanciers britanniques par le magazine Granta, en 2003, en compagnie de Robert McLiam Wilson, elle a fait parler d’elle en France à la rentrée 2007, avec la parution de Arlington Park (L’Olivier, disponible en Point Seuil), description satirique de la banlieue londonienne, saluée pour son style à la Virginia Woolf revisitée par les Desperate Housewives.

4eme de couverture :

La dépendance

M, romancière entre deux âges, s'est isolée du monde en s'installant avec son second mari au bord d'une côte océanique spectaculaire. Sur sa propriété baignée d'une lumière splendide et entourée de marais, le couple possède une dépendance soigneusement reconvertie en résidence d'artistes. M n'a qu'un rêve : y accueillir un jour L, un peintre à la renommée mondiale, qu'elle admire.

Quand il finit par accepter son invitation, M jubile. Cependant, elle déchante vite car L n'arrive pas seul - une ravissante jeune femme est à son bras. Entre-temps, la fille de M et son compagnon ont également débarqué. Les trois couples doivent alors cohabiter dans ce cadre certes enchanteur, mais qui va devenir le théâtre de multiples tensions.

D'une plume ciselée, Rachel Cusk crée un huis clos piquant et fascinant que l'on découvre en se plongeant dans le flot de pensées de M, une Mrs Dalloway des temps modernes. Entre désirs étouffés, orgueil artistique et illusions déçues, La dépendance décortique avec beaucoup de malice le large éventail des rapports humains et la légitimité de la vocation artistique.