Journal de guerre de Jacques Rozier : 1940-1941

Editeur : Editions Lamarque
Auteur : Jacques (1918-1983?) Rozier
Autre auteur : François Rozier - Préfacier

EAN : 9782490643486
Prix : 14 €
Collation : 92p. ; 16cm x 23cm ; épaisseur 0.6cm ; illustrations en noir et en couleur
Date de parution : 17/04/2021

pSur la route nationale qui mène à Vesoul, c'est un encombrement inextricable de voitures hétéroclites . des camions, des camionnettes, des voitures hippos, à pied des hommes de toutes armes, sans ordre et exténués. Maintenant nous comprenons qu'il s'agit bien d'un repli et presque d'une retraite.

Jacques Rozier, originaire de Theneuil en Indre-et-Loire, est ouvrier fraiseur-outilleur aux usines Citroën de 1936 à novembre 1939. Il est appelé sous les drapeaux le 15 novembre 1939 et sera démobilisé le 13 janvier 1941. Simple troufion emporté par la débâcle, il raconte avec des mots simples sa formation au camp de Mailly, sa guerre en Alsace (mai-juin 1940), puis sa traversée de la France dans un camion de blanchisserie.

Son témoignage pointe l'incurie de l'encadrement militaire, la faiblesse de l'armement et la désorganisation générale. Ce jeune homme de 22 ans fait preuve d'une grande maturité dans sa perception du pays en cette année 1940. La fuite vers le sud s'achève avec la défaite de la France et sa maladie. Une métaphore involontaire qui résume l'inexorable effondrement du pays et de ses citoyens. Il livre son récit sous la forme d'un carnet de voyage : un journal illustré par de remarquables dessins figuratifs.

Résumé :
Originaire de Theneuil, en Indre-et-Loire, J. Rozier est ouvrier aux usines Citroën de 1936 à septembre 1939, date à laquelle il est mobilisé pour combattre en Alsace en mai et juin 1940. Simple soldat emporté par la débâcle, il relate sa formation au camp de Mailly, l'expérience du combat et sa traversée d'une France vaincue tout en pointant la désorganisation de l'armée française.
4eme de couverture :

Journal de guerre de Jacques Rozier, 1940-1941

« Sur la route nationale qui mène à Vesoul, c'est un encombrement inextricable de voitures hétéroclites ; des camions, des camionnettes, des voitures hippos, à pied des hommes de toutes armes, sans ordre et exténués. Maintenant nous comprenons qu'il s'agit bien d'un repli et presque d'une retraite ».

Jacques Rozier, originaire de Theneuil (Indre-et-Loire), est ouvrier fraiseur-outilleur aux usines Citroën de 1936 à novembre 1939. Il est appelé sous les drapeaux le 15 novembre 1939 et sera démobilisé le 13 janvier 1941.

Modeste troufion emporté par la débâcle, il raconte avec des mots simples sa formation au camp de Mailly, sa guerre en Alsace (mai-juin 1940), puis sa traversée de la France dans un camion de blanchisserie. Son témoignage pointe l'incurie de l'encadrement militaire, la faiblesse de l'armement et la désorganisation générale. Ce jeune homme de 22 ans fait preuve d'une grande maturité dans sa perception du pays en cette année 1940. La fuite vers le sud s'achève avec la défaite de la France et sa maladie. Une métaphore involontaire qui résume l'inexorable effondrement du pays et de ses citoyens. Il livre son récit sous la forme d'un carnet de voyage : un journal illustré par de remarquables dessins figuratifs.

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